Aurore Delplace et Constantin Bancan se sont confiés dans les colonnes de Télé Poche ce vendredi 11 octobre. Les deux comédiens de la série Un si grand soleil ont fait quelques révélations concernant l’avenir du couple formé par Yann et Johanna.
EN BREF
- Le 11 octobre, Aurore Delplace et Constantin Balsan ont discuté de l’avenir de leurs personnages Yann et Johanna dans la série ‘Un si grand soleil’.
- Le couple doit affronter les défis de la fécondation in vitro, ce qui les pousse au bord de la rupture, avec Johanna cherchant du réconfort auprès de son ex.
- Ces rebondissements vont-ils affecter leur relation au point qu’ils doivent y mettre un terme ?
Les téléspectateurs de France 2 suivent au quotidien les aventures des personnages de la série Un si grand soleil. Parmi eux, il y a le couple Yann et Johanna qui fait face à de nombreux rebondissements. Dans les colonnes de Télé Poche ce vendredi 11 octobre, Aurore Delplace et Constantin Balsan ont fait quelques révélations à ce sujet, évoquant l’avenir de leurs personnages. Alors qu’ils souhaitent devenir parents, ils doivent passer la fécondation in vitro. “Le public va très vite découvrir que tout ça va les mener au bord de la rupture” , a fait savoir Aurore Delplace, provoquant ainsi le doute auprès des téléspectateurs.
Yann et Johanna vont-ils parvenir à passer outre les difficultés rencontrées par cette FIV ? “Johanna rêve d’un enfant avec Yann mais elle conserve dans un coin de sa tête le stress d’en avoir déjà perdu un”, confie Aurore Delplace. Toutefois, le parcours est beaucoup plus compliqué que prévu et, face aux difficultés, c’est dans les bras de son ex Ludo que Johanna va trouver du réconfort. “J’avoue avoir été perplexe de la voir, à ce moment-là de sa vie, retomber dans les bras de son ex”, assure la comédienne qui précise qu’elle aurait imaginé son personnage aller se confier à Sabine, jouée par Gaëla Le Dévéhat.
Johanna et Yann : un couple bientôt séparé ?
Les deux comédiens ne cachent pas leur surprise concernant le déroulé de cette intrigue. “Moi aussi, j’ai été surpris qu’à la première complication, elle trompe Yann”, confie Constantin Balsan. Toutefois, l’acteur insiste sur le fait que, pour la série, il fallait un peu de rebondissements. “Mais on se met à la place des scénaristes, il faut bien pimenter les histoires. Et là, c’était le moyen de raconter un tourbillon, quelque chose qui les dépasse et les force à se poser les bonnes questions sur leur avenir” , a-t-il assuré.
Yann et Johanna vont-ils parvenir à faire passer leur amour avant le reste ? En tant qu’acteur, évoquer un parcours de FIV est un véritable challenge. Toutefois, les deux comédiens ont affirmé qu’ils étaient ravis en découvrant qu’ils allaient aborder ce sujet-là, malgré les difficultés rencontrées par leurs personnages. “Avec Constantin, on voulait aborder ce sujet de la maternité et les voir galérer, parce que c’est le lot de beaucoup de couples”, affirme Aurore Delplace. De son côté, Constantin Balsan assure que son personnage va être maladroit et c’est quelque chose qu’il a trouvé très intéressant à jouer.
Aurore Delplace et Constantin Balsan : deux comédiens qui relèvent ce défi
Pour Aurore Delplace et Constantin Balsan, les tournages ont pris un tournant différent. Jouer des futurs parents qui rencontrent des difficultés n’est pas toujours évident mais il était important pour eux que leurs personnages évoluent. “Depuis le début, je fais grandir Yann tout en conservant une certaine cohérence”, confie l’acteur avant d’ajouter : “On l’a connu taciturne puis ensuite plus ouvert, grâce à Johanna. Je n’en ai pas non plus fait un personnage solaire mais il peut désormais s’autoriser des phases où il est heureux”.
De son côté Aurore Delplace a puisé dans son propre vécu pour jouer ces scènes parfois très compliquées. “Je me souviens très bien que les hormones m’avaient épuisée. Avant d’avoir Aaron, j’ai avorté à 27 ans puis j’ai fait une grosse extra-utérine suivie de deux fausses couches”, a-t-elle confié. Des expériences traumatisantes dont elle a dû se relever. “Mais il ne faut pas non plus sous-estimer ce que vivent les hommes dans ce genre d’épreuve. Kévin, mon mari, était désemparé lui aussi. Il ne savait pas quoi faire pour m’aider” , a-t-elle conclu.
