Insultée et harcelée sur internet suite aux agissements de son personnage, Charlie Nune (Soizic) sort du silence ! – Demain nous appartient
Plongée dans un arc narratif brûlant dans Demain nous appartient, Charlie Nune, alias Soizic, fait face à une vague d’insultes sur les réseaux sociaux. Un flot de haine qu’elle dénonce !
Dans Demain nous appartient, la tension monte entre Soizic et François depuis que la médecin scolaire a succombé au charme de Martial. Une trahison fatale, puisque la liaison a duré jusqu’à la mort tragique de ce dernier. Interrogée par nos confrères de Télé-Loisirs, Charlie Nune, qui prête ses traits à Soizic, revient sur cette intrigue sensible, évoquant les scènes d’amour à tourner, les réactions parfois virulentes du public, et les répercussions de cette fiction sur sa vie personnelle.
Charlie Nune cible d’attaques violentes : “je reçois des messages sur Instagram où je suis traitée de…”
Ce n’est pas la première fois que la comédienne doit affronter l’agressivité de certains téléspectateurs. Déjà visée à l’époque de Plus belle la vie, Charlie Nune est à nouveau prise pour cible à cause des choix de son personnage. “J’aimerais rappeler que Soizic, c’est un rôle. Je reçois des messages sur Instagram où je suis traitée de pute, de salope. Je me prends une vague de haine de gens qui ne font pas la différence entre la fiction et la réalité. Soizic est un rôle, ce n’est pas moi qui écris les scénarios”, a-t-elle fermement rappelé, déplorant ce flou entre actrice et personnage.
La comédienne inquiète pour ses proches : “je ne sais pas comment ça va se passer cet été avec mes enfants”
Si Charlie Nune assure rester relativement imperméable à ces commentaires, c’est surtout pour ses enfants qu’elle s’inquiète : “Cela ne m’atteint pas, mais je ne sais pas comment ça va se passer cet été avec mes enfants.” L’actrice se souvient d’un précédent douloureux : “J’avais déjà eu un problème similaire sur Plus belle la vie (…) et je m’étais fait traiter de pute devant ma belle-fille à l’époque dans la rue.” Une situation qu’elle redoute de revivre : “Si je me fais insulter dans la rue et que je suis avec mes enfants, je vais voir rouge.” À l’écran comme dans la vraie vie, les frontières entre fiction et réalité mériteraient parfois d’être mieux respectées.